"j'ai passé la visite à Vaillant et je suis maintenu dans l'auxiliaire pour pieds plats (...) Maintenant je suis sûr d'être tranquille dans mon bureau jusqu'à la fin de la guerre" (novembre 1914)
"je ne puis pas vous dire ce que je veux car en ce moment les lettres sont ouvertes et c'est très sérieux on serait punis enfin viendra peut-être un jour où l'on pourra s'en raconter davantage sans avoir peur de personne. Pour cela il nous faut attendre la paix et que l'on puisse s'en retourner" février 1915